J’ai voulu enfin tenter cette série de manga classique après qu’une amie de fac me l’ai beaucoup recommandé, et après avoir vu sur les réseaux sociaux pas mal d’images sympathiques venant de l’anime. La chance étant de mon côté, les deux premiers tomes étaient disponibles à la bibliothèque!
Sailor Moon Tome 1, de Naoko Takeuchi (traduit par Lamodière Fédoua)
Résumé de l’éditeur (lien en titre) :
Usagi est une jeune fille de 14 ans comme tant d’autres : elle aime dormir, jouer aux jeux vidéo, elle pleure pour un oui ou pour un non et elle ne se passionne pas pour ses études. Mais un beau jour, elle croise le chemin de Luna, un chat doué de parole qui va la transformer en une jolie justicière : Sailor Moon ! La voilà investie de plusieurs missions : elle doit identifier ses alliées, retrouver le légendaire Cristal d’Argent et protéger une certaine princesse… tout en luttant contre de mystérieux ennemis qui sont eux aussi à la recherche du fabuleux cristal aux pouvoirs fantastiques !
Si ce n’est pas un coup de cœur, c’est tout de même une agréable surprise. L’héroïne fait vraiment son âge, le résumé la décrit bien. J’ai un petit faible pour Luna, la petite chatte noire qui fait office de guide dans cette aventure.
Les chapitres sont plutôt répétitifs mais pour un premier tome devant présenter le monde, les personnages, les enjeux, etc, ça reste raisonnable. Très girly et mignon, j’ai apprécié la façon dont les personnages féminins se parlent, se complimentent, se motivent…
Les méchants semblent un peu caricaturaux et ne m’ont pas fait plus d’effet que cela, mais j’étais quand même curieuse de lire le tome 2 que j’avais à disposition.
Sailor Moon Tome 2, de Naoko Takeuchi (traduit par Lamodière Fédoua.)
C’est dans ce tome que j’ai beaucoup plus ressenti l’aspect shojo/romance car Usagi ne fait quasiment que se morfondre sur le sort d’un garçon (toutefois j’aime bien le fait que, même s’il la sauve parfois, elle aussi vole à sa rescousse) et elle en devient quasiment une personne différente (et… pas de spoiler mais le thème des identités se complique pas mal dans ce deuxième volume.)
J’ai quand même aimer voir les filles se rapprocher entre elles et prendre soin des unes des autres.
Côté dessin, j’ai parfois du mal à reconnaître qui est qui car les visages se ressemblent énormément et la couleur de cheveux ne se voit pas dans les pages noir et blanc.
Comme la bibliothèque a le reste de la série je pense continuer pour au moins pouvoir dire que je l’ai lu. Ce n’est pas un coup de cœur et je pense que j’aurais un peu plus apprécié lorsque j’étais plus jeune bien sûr. Sinon je suis contente d’avoir franchi le pas pour jeter un œil 🙂
a dragon in space 
De souvenir le premier arc est assez “enfantin” mais la série (et son héroïne) gagne en maturité au fur et à mesure que les enjeux deviennent plus sérieux.
J’ai eu le plaisir de la découvrir au bon âge, tout en étant mon tout premier shojo manga, donc cette série à une place toute particulière dans mon coeur. Même si j’ai pu par la suite lire d’autres shojo qui lui étaient antérieurs, aucun ne lui ressemblait. C’est vraiment une série particulière dans l’histoire du manga et c’est probablement la raison pour laquelle plus de 20 ans après elle n’a pas sombré dans l’oubli.
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Je comprends totalement! Une amie m’a dit la même chose sur le début enfantin et la suite qui évoluait plus, c’est pourquoi j’ai les tomes 3 4 5 déjà d’empruntés et je compte continuer 😀 Merci de me motiver à continuer 😉
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Haha oui accroche toi ! La suite en vaut la peine ^^
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